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Diana Chamia est l'exemple par excellence d'un média citoyen au service d'une cause juste et humanitaire. Grâce à son courage et à sa tenacité, cette étudiante en journalisme à Majunga, âgée de 17 ans, a mobilisé les bloggers du monde entier pour venir en aide, financièrement, à un bébé qui souffre d'une excroissance rare sur le front. Depuis, Bébé Kamba se porte bien. Lire dans http://randydoit.hautetfort.com/archive/2008/07/24/sauve-par-le-blog1.html
Aussi ironique que cela puisse paraître, le barcamp a quand même ses règles que les organisateurs sont en train d’écrire, ici à quatre pattes, sur un flipchart :
1. Tu dois parler du barcamp
2. Tu dois bloguer sur le barcamp
3. Si tu veux y participer, tu devras inscrire ton projet et ton passage sur le mur d’inscription
4. L’introduction se fera en 3 mois
5. Il y aura autant de présentations à la fois selon la capacité des locaux
6. Pas de présentations pré-programmées ni de touristes
7. Les présentations se poursuivent jusqu’à ce qu’une autre commence
Joan Razafimaharo, secrétaire générale de Foko-Madagascar, veille au grain. Architecte résidente à Montréal, elle préside aux destinées du projet du FBC Madagascar, lequel est membre de la communauté globale des journalistes citoyens http://globalvoicesonline.org
On a même trouvé une expression en malgache pour les bloggers : « mpitoraka blaogy ». Les académiciens n'auraient pas trouvé mieux.
Il vient de la lointaine Bolivie. Journaliste pour Global Voices, Eduardo Avila est aussi le représentant de Raising Voices. Il a participé au barcamp et a assisté aux ateliers de blogging de Foko, notamment à Antsirabe, le 9 octobre 2008.
Voces Bolivianas, le Foko bolivien, a aidé des habitants de El Alto, issus essentiellement de la masse populaire, des groupes indigènes et des femmes, à s’exprimer par le biais du blog en constituant un réseau de médias citoyens. Ce, afin de pallier aux défaillances de la presse classique qui ne parle que de crises politiques et autres conflits. Un cri, une voix (voie…) qui vient de l’intérieur.
Quand les grandes idées se rencontrent. Haja Ramboasalama (à d.), président de l’Amul, association des utilisateurs de logiciels libres, et Njaka Andriamampita, de l’agence Evente, organisateur du salon des Tic, e-bit. Pendant le barcamp, Haja Ramboasalama a posé la nécessité d’un Internet Exchange Point (IXP) pour Madagascar afin d’économiser des devises. Ceci évitera de transiter par l’Europe ou les Etats-Unis avant de pouvoir communiquer avec le Kenya tout proche. La balle est dans le camp des providers
Les poids lourds du Tic, regroupés dans le Goticom, étaient représentés au barcamp par son président, Gil Razafintsalama
C'est le journaliste fou, ou plutôt le fou d'information (et non fou de l'information). Bref, c'est "gazety adaladala", un électron libre qui squatte les conférences depresse entre deux descentes sur le terrain. Avec sa bécane, il va dans les endroits où les journalistes dit "professionnels" ne vont jamais. Son reportage sur la prolifération de procambarus ("foza orana") est un modèle du genre. C'est le modèle même du média citoyen. Avylavitra est au journalisme ce que la radio amateur est à la communication.
Il s'appelle Jentilisa - parce qu'il n'est pas Juif (sic). C'est la star de la blogosphère malgachophone. Ses élucubrations étaient gratifiés du 1er Bômbôs (Best of malagasy blogs), les awards du genre attribués par Foko-Madagascar. Sa récompense : un pavé de 400 pages renfermant la totalité de ses posts. Faut le faire !
Dr Zamenhof va se retourner dans sa tombe. Les internautes ont trouvé leur propre esperanto : le lojban. Selon Tosoa, de Jojopil.com, seule une vingtaine d'hurluberlus parle le lojban pour l'instant. Mais vous pouvez rejoindre la troupe sur www.lojban.org/ Courage !
Critique littéraire au "Soir" de Bruxelles, écrivain à ses heures perdues et éditeur par passion, Pierre Maury a fondé une bibliothèque dont les rayons virtuelles renferment de vieilles et rares publications sur Madagascar et que l'on peut télécharger gratuitement sur http://cultmada.blogspot.com/
Moov et IFC, un organisme de conseils et de financement pour PME-PMI, une satellite de la Banque Mondiale comme il en existe des tats au pays, étaient de la fête.
Il n'y avait pas de bar (on vous a prévenu !), mais il y avait quand même un petit snack où le chocolat chaud remplaçait la bière. M'en fous, je préfère le Coca-cola.
Vers la fin de la matinée, l'assistance était telle que certains ont dû s'asseoir par terre. Si ce n'est pas une réussite, cela lui ressemble...
Si on aurait élu une Miss BarCamp, ce serait cette créature qui ne déparerait pas dans un site interdit aux mineurs.