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Une partie de la société civile (et d'autres) reprochaient aux Assises nationales sa "précipitation... deux semaines seulement après le départ de Marc Ravalomanana".
Ainsi donc, ils n'ont pensé à l'avenir de Madagascar, concocté un nouveau projet de société, réflechir à une nouvelle Constitution que lorsque Ravalomanana a détalé comme le chaud lapin qu'il est le 17 mars 2009 ? Je me demande si on peut faire confiance à des gens qui ne voient loin que le bout de leur lorgnette. Cela fait des années qu'il fallait cogiter sur l'après Ravalomanana, quitte à corriger les copies suivant l'évolution des situations sur le terrain.