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Ils passaient par là, parce qu'ils étaient en train de faire un reportage sur le salon du tourisme, Porte de Versailles. Ce sont Didier de "Midi Madagasikara" et Christian Rakotoarisoa de la télévision nationale.
Un rendez-vous habituel : le bar de l'Olympia où tout le monde se retrouve avant, pendant l'entracte et même après le concert. Ici, un ami hotellier bien connu du côté d'Andraharo, établi à Paris depuis un certain temps.
Les rôles s'inversent : Kiaja, qui m'a toujours photographié jusqu'ici, est à son tour photographié par mes soins pendant qu'il mitraillait la scène de l'Olympia.
Il était bassiste d'un groupe de hard rock à Madagascar (Cherokees) dans les années 90. On était également ensemble au sein de Stone Press, le cercle des journalistes rock. C'est donc avec un plaisir évident que je retrouve Mahatsangy qui a quitté Madagascar pour des poursuivre des études de Sociologie en France.
On peut vendre des goodies dans une boutique située à l'entrée. Parmi les articles proposés, le livre sur Jaojoby. Ici, Haja veille au grain.
Il s'appellerait Rojo et serait un ami deXhy & Mäa. Il aurait également nourri quelques ambitions politiques. Ce cocktail explosif a fait qu'il s'est produit en live et gratos sur le devant de l'Olympia avant le début du concert de Jaojoby. Avec une guitare à la main, il n'avait apparemment peur de rien. Ce qui est sûr est que quelque chose à disjoncté quelque part...
Lova Ramisamanana, le patron de Kanto production, à qui l'on doit les programmations d'artistes gasy à l'Olympia. Remarquez la jolie employée de l'Olympia, à g., qui cherche à fuir la caméra.