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Les organisateurs s'attendait à 400 participants. 1274 personnes étaient venues. Cette explosion de la participation a causé bien du souci à l'intendance, notamment au niveau de la restauration. Sinon, pour le reste, il n'y avait pas de sushis à faire : chacun était venu à ses propres frais. Andry TGV Rajoelina jubile : c'est la première fois qu'à Madagascar, on réussit à organiser un événement politique majeur sans financement extérieur.
Une partie de la société civile (et d'autres) reprochaient aux Assises nationales sa "précipitation... deux semaines seulement après le départ de Marc Ravalomanana".
Ainsi donc, ils n'ont pensé à l'avenir de Madagascar, concocté un nouveau projet de société, réflechir à une nouvelle Constitution que lorsque Ravalomanana a détalé comme le chaud lapin qu'il est le 17 mars 2009 ? Je me demande si on peut faire confiance à des gens qui ne voient loin que le bout de leur lorgnette. Cela fait des années qu'il fallait cogiter sur l'après Ravalomanana, quitte à corriger les copies suivant l'évolution des situations sur le terrain.
Trois générations de dirigeants sur une seule photo. Le kid Andry Rajoelina, Alain Ramaroson (au milieu) et Roland Ratsiraka (à d.), le trio artisan du renversement de Ravalomanana. A demi caché par Andry, Voninahitsy, et trahi par son écharpe : le maire d'Ivato-Aéroport que Ravalomanana voulait opposer au maire de Tananarive.
La grande salle est l'idéal pour un concert ! Ceci dit, espérons que les absents auront corrigé leurs erreurs et viendront aux conférences régionales et la conférence nationale prévue avant le 26 juin. L'important n'est pas le fait que c'est Andry TGV qui préside la Transition. C'est le fait qu'il faut réflechir ensemble sur l'avenir de Madagascar, c'est-à-dire l'après Transition.