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13/09/2017

Dans ma bibliothèque, quand Tananarive d’hier ne diffère pas de celui d’aujourd’hui

Tâches douteuses et feuilles jaunies.  J’adore les vieux livres. Les bouquinistes d’Ambohijatovo le savent car c’est ce que je cherche quand j’y fais un tour. Mais il n’y a pas qu’Ambohijatovo. A Ampefiloha, devant le lycée éponyme, un vendeur de livres d’occasion étale ses marchandises à même le trottoir. « Cela fait fort longtemps qu’il se trouve là», me dit mon chauffeur.  Je lui ai déjà acheté plusieurs livres dont un Coran (!). Au vendeur de livres, pas à mon chauffeur…

Cette fois-ci, c’est un vieux bouquin écrit par un certain Pierre Enim en 1929 et publié chez Hachette en 1932. J’ai marchandé, prétextant que « personnes d’autres ne s’y intéresserait, à part moi ». Je culpabilise un peu. Si ça se trouve, c’est peut-être son seul revenu de la journée. Et je me permets de grignoter encore…

Sitôt entré dans ma voiture, je lis le livre d’un seul trait. Comme à mon habitude. Et comme d’habitude, je ne suis pas déçu. J’adore les livres anciens. Ceci est une petite annonce pour ceux qui en possèdent et qui veulent s’en débarrasser.

Pierre Enim est inconnu au bataillon des auteurs « vazaha » ayant écrit sur Madagascar sous la colonisation. Sans titre-1.jpgMais c’est vraisemblablement un magistrat ayant exercé à Tananarive et qui a visité Antsirabe. C’est du moins ce qui ressort de ses récits et des amis qu’ils fréquentent.

Dans ce livre, il brosse un portrait sans complaisance d’un Madagascar qui s’avançait par lui-même vers la modernité avec son drapeau, sa littérature  et ses ordres de chevalerie, mais dont l’indépendance a été stoppée nette par la colonisation française.

Pierre Enim débarque dans un Tananarive de 800.000 âmes que trente-trois ans d’occupation française dite « vigoureuse » (sic) n’ont pas apportées que le progrès. Les filanzanes ont « disparu de la ville (et) ne sont plus que curiosités de musée et sujets de timbres-poste », mais les rues demeurent toujours poussiéreuses.

« Sur les trottoirs, d’immenses caisses municipales à ordures publiques, caisses sans fond ni couvercle, remplies à toute heure, attendant pendant vingt-quatre heures, à l’air libre, le passage de la charrette collectrice. C’est par nuées, à l’enlèvement, à la pelle, de leur contenu, qu’en sortent mouches vertes et insectes ailées de toutes sortes », écrit-il avant de continuer un peu plus loin : « dans le creux des ruisseaux, l’eau stagne avec des détritus  de toutes sortes sans que jamais le balayeur public n’y passe son balai. Celui-ci, d’ailleurs, par la forme plate qu’il a généralement, n’est pas fait pour ce nettoyage-là ».

Sans titre-2.jpg

Si le fantôme de Pierre Enim revient à Madagascar 85 ans après, il constatera que pas grand-chose n’a pas changé de ce côté. Pas plus que dans l’usage du français. Selon lui, « les  trois quarts des malgaches du peuple de la ville, jeunes et vieux, non seulement ne parlaient pas le français, mais encore ne le comprenaient pas  (…) Vous croyez, vous Français de la Métropole, comme je le croyais, moi-même, avant mon arrivée à Madagascar, que, dans les écoles primaires indigènes, publiques tout au moins, les classes se faisaient en français ? Erreur. Les classes se font en malgache et les pédagogues – des malgaches – sont, pour les neuf dixièmes, complètement ignorants des mots les plus usuels de notre langue. Voilà pourquoi, l’ancien écolier de l’école indigène ne sait parler et écrire que sa langue originelle, le malgache ».

Voilà de quoi apporter de l’eau au moulin des partisans du « fanagasiana ». En tout cas, Pierre Enim n’a pas mis du temps pour comprendre toutes les ficelles du parler (on non) malgache : « Han, han, han » vous répondent-ils quand vous vous adressez à eux en langue de Molière, ce qui signifie, suivant les circonstances : « Je ne sais rien… passez votre chemin… vous m’importunez. »

Réaliste, Pierre Enim se rend à l’évidence : « un pays conquis conservant la langue de ses ancêtres ne sera jamais un pays absorbé par son conquérant ». Mieux : visionnaire, il annonce les prochaines révoltes anticoloniales pilotées par les anciens combattants, ceux qui, en combattant pour la France durant la première guerre mondiale, ont pris conscience que les blancs ne sont pas invincibles. Biberonnés aux discours sur la liberté, l’égalité et la fraternité, ils réalisent à leur retour au pays que tout ceci n’est que coquilles vides à Madagascar.

Pierre Enim est un des rares colons à avoir fustigé l’indigénat. « A l’encontre du droit (j’allais dire du bon sens) il se produit ceci à Madagascar : le Malgaches, enfant de sa terre est, chez lui, un homme sans patrie existante (…) Quoique Gallieni eut dit (J. O. du 3 mars 1897) après avoir déporté sa dernière à la Réunion : « La France vous considère, maintenant, comme ses propres enfants », l’indigène, mis en marge de la patrie françaises, est demeuré indigène, comme si l’indigénat était une nation, un Etat ».

Ainsi, conclut Pierre Enim, « peut-on, allégrement, comme pour un peuple inculte, assujettir à ses lois un peuple civilisé, un peuple conscient, un peuple à histoire et à coutumes ? Ne porte-t-il pas, toujours, au fond du cœur, ce peuple-là, l’amertume de la perte de sa nationalité ? n’y garde-t-il pas, en même temps, la haine de son conquérant, surtout quand ce conquérant a eu la maladresse, au lieu d’essayer de l’assimiler, de le traiter toujours en conquis ? Et n’est-il pas à craindre qu’un beau jour, cette haine-là n’éclate, brutale, sanglante ? (…) Au début de la guerre, après la défaite de Charleroi et la descente, à Bordeaux, du Gouvernement, alors que, dans le monde, on croyait la France perdue, une organisation secrète d’intellectuels malgaches, pour l’autonomie du pays, la V.V.S. (Vy vato Sakelica, Fer et pince sous le bras) n’avait-elle pas déjà commencé à soulever le peuple contre les Européens, ne projetait-elle pas de les faire rejeter du pays ?

L’avenir seul répondra de notre politique, l’avenir, c’est-à-dire la levée de la 2è ou de la 3e génération des Hovas, conquis, et pas plus » .

On verra effectivement par la suite qu’à la tête de la rébellion de 1947 se trouvait des démobilisés  d’une autre guerre mondiale, la  2è

Non, ne nous trompons pas. Comme Laborde, il ne faut pas prendre Pierre Enim comme il n’est pas. C’est toujours un « vazaha » qui pense « vazaha » et qui émet des réflexions dans l’intérêt des « vazaha ».

« Si Madagascar était anglais, belge ou allemand, depuis les trente ans que nous y sommes, il « rendrait » des milliards et compterait une population blanche de quarante mille habitants. Sa population indigène serait d’un chiffre double de son chiffre actuel et sa population métisse d’un chiffre triple », philosophe-t-il.

En 1929, Madagascar comptait 3 millions d’habitants dont 10.000 « vazaha ».

Après la lecture de l’ouvrage de Pierre Enim, on constate que Madagascar fait du sur place depuis un siècle ! Toujours spolié par « des peuples du dehors » (sic) et terrorisé, à l’intérieur, par des « dahalo ».

« Les Tontakelys sont des bandes armées de pillards qui, encore aujourd’hui (1929), dans les régions de l’île non pourvues de postes militaires ou de brigades de police, se ruent dans les villages qu’ils mettent à sac, souvent à sang ».

Comme ce « aujourd’hui (1929) » sonne d’actualité !

Randy

25/12/2015

Les ordures d'Antananarivo : les malheurs de Lalao sont dus à Marc Ravalomanana !

Qui a eu cette idée folle un jour "d'enlever" à la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) le Samva, le service chargé de la collecte des ordures et d'assainissement des eaux usées ?

C'est... Martial Rakotoarimanana, disent certains. Pas du tout ! C'est... la Transition, disent d'autres. Absolument pas. Et pour cause, c'est justement pour emmerder Andry Rajoelina, fraîchement élu maire de Tana, que l'on a détaché le Samva de la CUA. Alors, c'est... c'est... c'est qui ?
Oui, vous l'avez deviné, c'est Marc Ravalomanana lui-même qui a décidé de rattacher le Samva au ministère de l'Eau ! Pour emmerder Andry Rajoelina, mais aussi parce que la collecte des ordures de Tana représente un marché juteux aux mains d'un proche de... Lalao Ravalomanana ! C'était en 2008, à une époque où le clan Ravalomanana, au sommet de son art, ne pouvait imaginer qu'un jour, la famille reviendrait occuper la mairie de Tana !

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Oui mais ceci confirme que Lalao n'a aucune responsabilité concernant les "montagnes d'ordures" de Tana, comme disait Soprano. Pas tout à fait car le budget de fonctionnement du Samva est constitué essentiellement par "les redevances dues aux propriétés bâties ou foncières" (décret ministériel 2008/599) dont la collecte incombe à la CUA ! Ainsi, si le Samva ne fonctionnerait pas faute de budget, à qui doit-on jeter la première pierre (de l'Hôtel de ville) ?
"Nemo auditur propriam turpitudinem allegans" (nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude), disait le latiniste Didier Ratsiraka. Le cas Lalao vs Samva est une nouvelle épisode des boomerangs ("tody", disait le malgachiste Richard Andriamanjato) qui tombent sur la tête de Ravalomanana. J'en parlais en 2012. Et on est encore loin du dénouement !

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13/12/2015

Ecce homo : Jésus renait de nouveau !

Non, Jésus Christ n'était pas un grand homme mince aux cheveux longs parfaitement shampouinés et à la peau blanche, selon des scientifiques qui révèlent un nouveau portrait "plus proche de la réalité".

Sur les nombreuses peintures ou fresques le représentant, Jésus-Christ à l'apparence d'un grand homme mince, à la peau blanche et aux yeux clairs et aux longs cheveux parfaitement coiffés. Mais en réalité, le messie de tous les chrétiens devait plutôt ressembler à ça.

Jésus, Christ, Madagascar, Randy Donny

C'est du moins ce qu'avancent des scientifiques britanniques et des archéologues israéliens, rapporte le site "Popular Mechanics". Les chercheurs expliquent avoir utilisé l'anthropologie médico-légale, une méthode notamment appliquée par la police pour résoudre des crimes, grâce à laquelle ils ont pu recréer un visage se rapprochant de celui de Jésus. Ou du moins de celui d'un homme vivant à la même époque et dans la même région que le Christ.

Un processus complexe

Pour arriver à ce résultat, les scientifiques se sont d'abord fondés sur un modèle créé en analysant le crâne d'un sémite habitant la Galilée au premier siècle après J.C. Après avoir obtenu une forme générale, ils ont ensuite déterminé la couleur de la peau en se basant sur des peintures de Sémites vivant à la même époque et au même endroit.  

Restait la dernière pièce du puzzle: les cheveux. Selon les scientifiques, qui se sont basés cette fois sur la Bible, il était peu probable qu'ils soient long. Ils citent par exemple la "première épitre de Saint-Paul aux Corinthiens 11", où il est écrit que "La nature elle-même ne vous enseigne-t-elle pas que c'est une honte pour l'homme de porter les cheveux longs tandis que c'est une gloire pour la femme de les porter ainsi?". Jésus devait donc probablement porter les cheveux courts, comme il seyait aux hommes de cette époque.

Plus petit et plus musclé

Les scientifiques ne représentent pas, en revanche, le corps de Jésus, ils rappellent néanmoins que les hommes sémites de cette époque mesuraient en moyenne 1m55 et pesaient 49 kilos, selon l'analyse de plusieurs squelettes, précise "Popular Mechanics". Et, selon les écrits, il est probable que Jésus était charpentier, il aurait donc possédé une musculature plus développée que ce que les portraits traditionnels évoquent.  

Les scientifiques l'admettent, le visage ci-dessus ne ressemble pas exactement à celui de Jésus, mais il s'en rapproche certainement bien plus que toutes les autres représentations artistiques habituelles.

L'Express

23/09/2015

Antananarivo, dix ans après...

"... Et si on se donne rendez-vous dans dix ans ?". Telle était le chute d'un article que j'ai écrit pour le quotidien "Les Nouvelles", le 07 juin 2005. Il s'agit d'une page entière consacrée à "mon" Plan d'urbanisme pour la ville des mille merveilles qui croule sous mille et un problèmes. 

Antananarivo, Randy Donny, randydoit, Betsimitatatra, plan d'urbanisme, Madagascar, Tananarive, 67 ha

Le plan est simple : il y a encore de la place à Tana. Il suffit de bien s'organiser. Il faut désengorger le centre-ville et "déplacer" les gens dans la plaine du Betsimitatra. Il est encore possible de faire des dizaines de 67 ha à Andohatapenaka, Anosizato, Ankasina, Ampefiloha-Ambodirano, Ankorondrano ou encore à Marohoho et By-pass... Après quoi, on pourra raser les ghettos truffés de "lalan-kely", nids d'insécurité, et redessiner Tana avec des grands boulevards et des espaces verts... Andranomanalina, Isotry, Anatihazo, Manarintsoa et Antohomadinika deviendront alors les nouveaux quartiers des affaires de la capitale avec des immeubles modernes et des centres commerciaux ! 

Non, ne criez pas au scandale, Madagascar a besoin de construire 950.000 logements afin de pouvoir loger tout le monde. Pourquoi ne pas commencer par la capitale ? 

Oui, Betsimitatatra n'est pas une fatalité. Ces rizières, sales et non rentables, ne sont plus en fait que marécages où se développent les épidémies qui font honte à Madagascar : la peste et la choléra en première liste, sans oublier le paludisme...

On peut très bien le remblayer sans que cela expose Tana à un risque d'inondation durant la saison des pluies. Paris, Amsterdam et bien d'autres grandes villes sont passées par là. Il suffit pour cela de construire de larges canaux, à ciel ouvert -mieux que celui d'Andriantany, ou souterrains comme il en existe dans toutes les grandes villes du monde. D'immenses canaux où les touristes eux-mêmes prendront plaisir à visiter, et non ces ridicules "dalles" de quelques centimètres de large et autant en profondeur, vite bouchées par les tonnes d'ordures et surtout de matières plastiques ! Ailleurs, à Monaco et au Pays-Bas, on va jusqu'à remblayer la mer, polder que cela s'appelle. Alors, ce n'est pas un marais qu'Andrianampoinimerina lui-même n'a pas hésité à dompter, qui fera reculer le Tananarivien moderne. Il y a bien des ingénieurs malgaches ou "vazaha", pourquoi pas si les locaux sont à court d'idées, capables de résoudre cette équation déjà posée plus haut : "Comment remblayer Betsimitatatra sans que cela expose la capitale à un risque d'inondation ?". 

Comme à l'époque des rois, c'est le pouvoir central qui doit piloter ce projet. Le problème est que les promoteurs privés ne se soucient nullement d'environnement et d'urbanisme. D'où les remblayages sauvages qui ne peuvent que mener au catastrophe ! Dans l'article, j'ai cité notamment le cas du boulevard de l'Europe, alors nouvellement construit. 

Dix ans après, Betsimitatatra continue effectivement de disparaître... 

Pour ceux qui ne sont pas convaincus par "mon" plan d'urbanisme, je leur donne de nouveau rendez-vous dans dix ans ! 

Randy D. 

27/08/2010

Je sais que j'l'ai pas assez dit, mais je t'le dit quand même

Tiako itena isany ! Je fais partie des gens qui, par timidité, disent rarement je t'aime. On n'en pense pas moins, malgré tout. Alors, au monde entier, j'aimerais dire aujourd'hui...

AMOUR.JPG

Acholi : amari
Afghan : Ma doste derm
Afrikaans : Ek het jou liefe/ek is lief vir jou
Akan : Me dor wo
Albanais : Te dua
Albanais : Te dashoroj
Albanais : Ti je zemra ime
Alentejano : Gosto de ti, porra !
Allemand : Ich liebe Dich
Algérien : Kanbghik
Alsacien : ich hab di' lieb, ich hab di' gern
Amharic : Afekrishalehou
Amharic : Afekrischaledou
Amharic : Ewedishalehu (homme/femme vers femme)
Amharic : Ewedihalehu (homme/femme vers homme)
Anglais : I love you
Anglais : I adore you
Apache : Sheth she'n zho'n
Arabe (Arabe formel ) : Ohiboke (vers une femme)                                                                           Arabe maghrébin : n'bghick
Arabe (Arabe formel ) : Ohiboki (vers un homme)/ouhibbouka (à un homme) / ouhibbouki (à une femme)
Arabe : Ib'n hebbak.
Arabe : Ana Ba-heb-bak
Arabe : Ana hebbek
Arabe : Ana behibak (femme vers homme)
Arabe : Ana behibek (homme vers femme)
Arabe : Ahebich (homme vers femme)
Arabe : Ahebik (femme vers homme)
Arabe : Ana ahebik
Arabe : Bahibak/bahebbak (femme vers homme)
Arabe : Bahibik/bahebbik (homme vers femme)
Arabe : Benhibak
Arabe : Benhibik (femme vers femme ou homme vers homme)
Arabe : Benhibkom (homme vers homme ou femme vers homme)
Arabe : Benhibak
Arabe : nhebuk
Arabe (Arabe formel ) : Okibokoma (homme vers femme ou deux hommes vers deux femmes)
Arabe (Arabe formel ) : Nohiboke (vers un homme)
Arabe (Arabe formel ) : Nohiboka ( vers homme )
Arabe (Arabe formel ) : Nohibokoma (homme vers femme ou homme ou deux hommes vers deux femmes)
Arabe (Arabe formel ) : Nohibokon (homme vers homme ou femmes vers deux femmes)
Arabe : Ooheboki.(homme vers femme)
Arménien : Yes kez si'rumem
Asturien : quiérote
Azeri : men seni sevirem
Arménien : Yar ounenal
Arpitan savoyard : jhe t'âmo
Assamese (Inde) : Moi tomak bhal pau
Autrichien : Ich liebe dich
Ayamara : mûnsmawa Bambara : né bi fè
Bari ( Langage Soudanais) : Nan nyanyar do
Bari ( Langage Soudanais) : Nan nyanyar do parik                                                                    Bas-Allemand : ik heef di leev
Bas-Saxon : ik hou van ju
Basque : Nere Maïtea
Basque : Maïte zaitut
Batak : Holong rohangku di ho Baoulé : mi klôa
Bavarois : I mog di narrisch gern
Bemba (Zambie) : Nalikutemwa
Bemba (Zambie) : Ninkutemwe
Bengalais : Ami tomAy bhAlobAshi
Bengalais : Ami tomake bhalobashi.
Berbère : Lakh tirikh/ak matirikh/righ kem
Bicol (Philippien) : Namumutan ta ka Biélorusse : Кахаю цябе (kahaju ciabie
Birman : Chi pa de/ nga nin ko chit te
Birman : Min go nga chit tay Bobo : ma kia bé nà
Bolivien (Quechua) : Qanta munani
Bosniaque : Volim te
Brésilien: Eu te amo (prononcer "eiu chee amu")
Breton : da garan" (poétique - pour les amoureux)
Breton : da garout a ran" (formule plus "commune" - je t'aime (bien)) karout a ran ac'hanout/ me az kar
Bulgare : Obicham te
Bulgare : As te obicham
Bulgare : Obozhavam te (je t'aime énormément, mais tendre)/обичам те
Cambodgien : Bon sro lanh oon
Cambodgien : kh_nhaum soro_lahn nhee_ah
Canadien français : Sh'teme , ou j't'aime
Cantonais : Ngo oi ney
Catalan : T'estim (Mallorcain)
Catalan : T'estim molt
Catalan : T'estime (Valencien)
Catalan : T'estimo
Catalan valencien : Te vullc
Cebuano (Philippin) : Gihigugmz ko ikaw
Chamoru ou Chamorro : Hu guaiya hao
Cheyenne : Nemehotates
Chichewas : Ndimakukonda
Chickasaw (USA) : Chiholloli (i final nasal)
Chinois : Goa ai li (dialecte Amoy)
Chinois : Ngo oi ney (dialectecte Cantonais)
Chinois : Wo oi ni (dialectecte Cantonais)
Chinois : Ngai oi gnee (dialecte Hakka)
Chinois : Ngai on ni (dialecte Hakka)
Chinois : Wa ai lu (dialecte Hokkien)
Chinois : Wo ai ni (dialecte mandarin)
Chinois : Wo ie ni (dialecte mandarin)
Chinois : Wuo ai nee (dialecte mandarin)
Chinois : Wo ay ni (dialecte mandarin)
Chinois : Wo ai ni (dialecte Putunghua
Chinois : Ngo ai nong (dialecte Wu)
Comorien : N' game handzo
Coréen : Dangsinul saranghee yo
Coréen : Saranghee
Coréen : Nanun dangsineul joahapnida
Coréen : Nanun dangsineul mucheol joahapnida
Coréen : Nanun dangsineul mucheol saranghanida
Coréen : Nanun gdaega joa
Coréen : Nanun neoreul saranghapnida
Coréen : Nanun neoreul saranghanda
Coréen : Gdaereul hjanghan naemaeum alji
Coréen : Jaohaeyo
Coréen : Saranghaeveyo
Coréen : Saranghapanida
Coréen : Norul sarang hae
Coréen : Tangsinul sarang ha o
Coréen : Tangsinul sarang ha yo
Coréen : Tangshin-ul sarang hae hae-yo
Coréen : Tangshin-i cho-a-yo
Coréen : Nanun tangshinul sarang hamnida
Coréen : Tangsinul sarang ha yo
Coréen : Nanun tongshinun sarang hamnida
Corse : Ti tengu cara (homme vers femme)
Corse : Ti tengu caru (femme vers homme)
Créole Antillais : mwen enmen
Créole guadéloupéen : mwen enméw
Créole guyanais : mo contan to
Créole martiniquais : mwen inmin'w
Créole de Maurice : mo kontan toi
Créole de la Réunion : Aime a ou/Mi aim a ou
Créole Haïtien : muwen renmen' ou/mouin rinmin'w
Croate (familier) : Ja te volim
Croate (familier) : Volim te
Croate (formel) : Ja vas volim
Croate (formel) : Volim vas
Croate (formel) : Ljubim te
Danois : Jeg er forelsket i dig (je suis amoureux)/jeg elsker dig
Davvi Semegiella : Mun rahkistin dù
Digbambara : n' bi fe
Dioula : mi fê Dusun : Siuhang oku dia
Ecossais Gallois : Tha gra dh agam ort
Equatorien (Quechua) : Canda munani
Espagnol (Castillan) : Te quiero
Espagnol (Castillan) : Te Amo
Esperanto : Mi amas vin
Estonien : Mina armastan sind
Estonien : Ma armastan sind
Ethopien : Afgreki'
Farsi : Tora dust mi daram
Farsi : Asheghetam
Farsi (Perse) : doostat dAram Féroïen : eg elski teg
Finnois (formel) : Minä rakastan sinua
Finnois (formel) : Rakastan sinua
Finnois (formel) : Minä pidä sinustra
Finnois : (Mä) rakastan sua
Finnois : (Mä) tykkään susta
Flamand : Ik hue van ye/ik hou van jou / ik heb je lief
Flamand : Ik hue van dei
Flamand (Néerlandais) : Ik hou van jou (passionnément)
Flamand : ik zie je graag
Français : Je t'aime Francique lorrain : ich lìwe dich
Francique rhénan : ich honn dich gäer Frioulan : o ti vuei ben
Frisien : Ik hou fan dei (sp?)
Frisien : Ik hald fan dei (sp?)
Gaélique : Moo graugh hoo
Gaélique d’Ecosse : Tha gradh agam ort/gaol agam ort / tha gaol agam oirbh
Gaélique d’Irlande : tá grá agam duit
Galicien : Querote/amo-te / ámote / quero-te
Galicien : Queroche
Galicien : Amote
Gallois : Rwy'n dy garu di.
Gallois : Yr wyf i yn dy garu di (chwi) Géorgien : me shen mikvarkhar
Ghanéen (Akan, Twi) : Me dor wo
Grec : σ'αγαπώ (S'agapo)
Grec : Eime eroteumos mazi sou
Grec : Eime eroteumos me 'sena (vous vers homme ou femme)
Grec : Eime eroteumeni me 'sena (vous vers homme ou femme)
Grec : Eime eroteumeni mazi sou
Grec (supérieur) : (Ego) philo su
Grec (ancien) : Philo se
Groenlandais : Asavakit.
Guarani : Rohiyu (ro-hai'-hyu)
Gujrati (Pakistan) : Hoon tane pyar karoochhoon
Gujrati (Pakistan) : Hoon tuney chaoon chhoon (n nasal, ne pas prononcer)
Hausa (Niger) : Ina sonki
Hawaiien : Aloha wau ia 'oe
Hawaiien : Aloha wau ia 'oe nui loa ( je t'aime énormément)
Hébraïque : Ani ohev otach (homme vers femme)
Hébraïque : Ani ohev otcha (homme vers homme)
Hébraïque : Ani ohevet otach (femme vers femme)
Hébraïque : Ani ohevet otcha (femme vers homme)
Hébraïque : Anee ohev otkha (homme vers femme)
Hébraïque : Anee ohevet otkha (femme vers homme)
Hébraïque : Anee ohev otkha (homme vers homme)
Hébraïque : Anee ohevet otakh (femme vers femme)
Hindi : Mae tumko pyar kia
Hindi : My tumko pyar karta hu
Hindi : Main tumse pyar karta hoon.
Hindi : Ham Tomche Payer Kortahe
Hindi : Mai tumse peyar karta hnu
Hindi : Mai tumase pyar karata hun (homme vers femme)
Hindi : Mai tumase pyar karata hun.(femme vers homme)
Hindi : Mai tumse pyar karta hoo
Hindi : Mae tumko pyar kia.
Hindi : Main tuze pyar karta hoon (le n est nasal, ne se prononce pas)
Hindi (Kannada) : Naanu ninnannu premisuththene
Hmong (ethnie du laos) : Kuv hlub kov (à prononcé cou lou co à peu près)
Hokkien : Wa ai lu
Hongrois : Szeretlek
Hongrois : Szeretlek te'ged
Hopi : Nu' umi unangw´ta
Ibaloi (Philippin) : Pip-piyan taha
Ibaloi (Philippin) : Pipiyan ta han shili (je t'aime énormément et plus)
Imazighan : Halagh kem
Indonésien : Saya kasih saudari
Indonésien : Saya cinta kamu
Indonésien : Saya cinta padamu
Indonésien : Saja kasih saudary
Indonésien : Aku cinta padamu
Indonésien : Aku tjintaa padamu
Indonésien : Aku cinta kamu
Irlandais : taim i' ngra leat
Irlandais/Gallois : t'a gr'a agam dhuit
Iroquois mingo : kِnuِhkwa' (le /ِ/ se prononce comme le /on/ en français, et le /'/ est l'arrêt glottal)
Islandais : Eg elska thig
Italien : ti amo
Italien : ti voglio bene
Italien : ti adoro
Italien : sei il mio amore
Japonais : Kimi o ai shiteru (très très familier)
Japonais : Watakushi-wa anata-wo ai shimasu
Japonais : Kulo tresno
Japonais : aishitemasu/Aishiteiru (peu utilisé)
Japonais : Chuu shiteyo
Japonais : Ora omme no koto ga suki da
Japonais : Ore wa omae ga suki da
Japonais : Suitonnen
Japonais : Sukiyanen
Japonais : Sukiyo
Japonais : Watashi wa anata ga suki desu (plus "mignon")
Japonais : Watashi wa anata wo ai shithe imasu
Japonais : A-i-shi-te ma-su
Javanais : Kulo tresno
Kabile : Hemlar kem (vers une femme)
Kabile : Hemlark (vers un homme)
Kankana-ey (Philippin) : Laylaydek sik-a
Kannada (Inde) : Naanu Ninnanu Preethisuthene
Kannada (Inde) : Naanu Ninnanu Mohisuthene Khmer bang srolaïgn ôn (homme > femme)
ôn srolaïgn bang (femme > homme)
Kikongo : Mono ke zola nge
Kinyarwanda : Ndagukunda
Kiswahili : Nakupenda
Klingon : bangwI' Soh
Klingon : qaparHa'
Klingon : qamuShá
Klingon : qaparHáqu'
Kpele : I walikana
Kurde : Ez te hezdikhem
Kurde : Min te xushvet
Kurde : Min te xoshvet (dialecte du sud)
Langue de Fe(u) : Feje fetai feme ou Jefe taife mefe (suivant l'utilisateur)
Laotien : Khoi huk chau
Laotien : Khoi hak joa
Laotien : Khoi hak chao/khoi hak tchao lai
Laotien : Khoi mak joa lai
Laotien : Khoi mak joa
Laotien : Khoi hak joa lai
Lari (Congo, région du Pool) : Ni kou zololo
Latin : Te amo
Latin : Vos amo
Latin (ancien) : (Ego) Amo te
Latvien : Es tevi milu (prononcer 'es tevy meelu')
Latvien : Es milu tevi (langage commun) Letton : es tevi mīlu
Libanais : Bahibak/b'hibik (homme > femme)/b'hibak (femme > homme)
Lingala (Congo) : Nalingi yo
Lingala (Congo): Na lingui yo
Lithuanien : Tave myliu
Lisbonne (argot de) : Gramo-te bue', chavalinha !
Ligure : mi te amu
Lojban : Mi do prami
Luo ( Kenia) : Aheri
Luxembourgeois : Ech hun dech gär
Maa : Ilolenge
Macédonien : Te sakam
Macédonien : Te ljubam
Macédonien : Jas te sakam
Macédonien : Pozdrav
Madrid (argot de) : Me molas, tronca
Maiese : Wa wa
Malais : Saya cintamu
Malais : Saya sayangmu
Malais : Saya sayang anda
Malais : Saya cintakan mu
Malais : Saya sayangkan mu
Malais : Saya chantikan awak
Malais : Aku sayang kau
Malais : Saya sayangmu
Malais/Bahasa : Saya cinta mu
Malais/Indonésien : Aku sayang kau
Malais/Indonésien : Saya chantikan awah
Malais/Indonésien : Saya sayangkan engkau
Malais/Indonésien : Saya chantikan awah
Malais/Indonésien : Aku cinta pada kau
Malais/Indonésien : Aku cinta pada mu
Malais/Indonésien : Saya cinta oada mu
Malais/Indonésien : Saya sayangkan engkau
Malais/Indonésien : Sayah chantikan awah
Malayalam : Ngan ninne snaehikkunnu/enikku ninné ishtamaanu
Malayalam : Njyann ninne' preetikyunnu
Malayalam : Njyaan ninnne mohikyunnu
Malayasien : Saya cintamu
Malayasien : Saya sayangmu
Malayasien : Saya cinta kamu
Malgache (malagasy): tiako ianao ("tikou ianaou")/Tia anao aho                                                 Maltais : inhobbok
Manxois : ta graih aym ort
Maori : kei te aroha au i a koe
Mandarin : Wo ai ni
Marathi : Mi tuzya var karato
Marathi : Me tujhashi prem karto (homme vers femme)
Marathi : Me tujhashi prem karte (femme vers homme)
Marocain : Kanbhik/tanabghikkk
Marocain : Kanhebek
Marshallais : Yokwe Yuk
Mongol : Би чамд хайртай (Be Chamad Hairtai : très intime)
Mohawk : Konoronhkwa
Moré : mam nong-a fo aho Moyi (Congo Brazzaville) : Gakakayo
Munukutuba (Congo, Sud) : Mu zola mgé
Munukutuba (Congo, Sud) : Mou zolagué Napolitain : t'ammo
Naori : ka arocha ahau ki a kor
Navajo : Ayor anosh'ni
Ndebele (Zimbabwe): Niyakutanda
Néerlandais : Ik hou van jou (passionnément)
Népalais : Ma timi sita prem garchhu (romantique)
Népalais : Ma timilai maya garchhu (non romantique)
Norvégien : Jeg elskar deg (Bokmaal)
Norvégien : Eg elskar deg (Nynorsk)
Norvégien : Jeg elsker deg (Bokmål) (prononcer : yai elske dai)
Nyanja : Ninatemba
Occitan gascon : Que t'aimi
Occitan languedocien : T'aimi
Op (anglophone) : Op lopveop yopuop
Op (francophone) : Op jeop top aiopmeop
Oriya : Moon Tumakoo Bhala Paye
Oriya : Moon Tumakoo Prema Kare
Oromoo : Sinjaladha
Oromoo : Sinjaldha
Osetien : Aez dae warzyn
Ourdou (Inde) : Mujge tumae mahabbat hai
Ourdou (Inde) : Main tumse muhabbat karta hoon (locuteur Masculin)
Ourdou (Inde) : Mujge tumse mohabbat hai (locuteur Féminin)
Ourdou (Inde) : Kam prem kartahai
Ouzbek : Man seni sevaman Pakistanais : Muje se mu habbat hai
Pakistanais : Muje stumse mahabbat hai
Papiamento : Mi ta stimábo
Pedi : Kiyahurata
Perse : Tora dost daram/dustat dâram (formel) / duset dâram (courant)
Pig Latin : Ie ovele ouye
Picard : ej t'ei kier
Picard : ej te vô voléntié
Philippinin : Mahal ka ta
Philippinin : Iniibig Kita
Poitevin-Saintongeais : i t'aeme
Polonais : Kocham ciebie
Polonais : Ja cie kocham
Portugais/brésilien : Eu te amo
Portugais: Eu amo-te
Portugais : Amo-te (plus familier)
Provençal : t'aimi Provençal rhodanien (Mistralien) : T'ame
Punjubi (Inde) : Main tainu pyar karna (locuteur Masculin)
Punjubi (Inde) : Mai taunu pyar kardar (locuteur Féminin)
Quechua de Cuzco : munakuyki
Quenay : Tye-melane Rapa nui : hanga rahi au kia koe
Romani : kamaù tut
Roumain : Te iubesc
Roumain : Te ador
Russe : Ya lioubliou tiebia (je t'aime)
Russe : Я тебя люблю (ia tibia lioubliou)
Russe : Ya vas lioubliou (je vous aime)
Russe : Lioubliou tiebia (je t'aime)
Russe : Ya polubil tiebia (je suis tombé amoureux de toi)
Russe : Ya polubila tiebia (je suis tombée amoureuse de toi)
Russe : Ya lioubliou tiebia (je t'aime) Samoan : ou te alofa ia te oe
Sango : mbi yé mô
Sarde : deo t’amo (logudorois) / deu t’amu (campidanois)
Savoyard : jhe t'âmo
Scanien (Skånska) : Jâ hóllor âw di
Scanien (Skånska) : Jâ ty´tjor omm di
Samoen : Ou te alofa outou
Samoen: Ou te alofa ia te oe
Samoen : Talo'fa ia te oe
Samoen : Fia moi ?
Sancrit : Anugrag
Serbe (formel) : Ja vas volim
Serbe (formel) : Volim vas
Serbe (formel) : Ljubim te
Serbe (familier) : Ja te volim
Serbe (familier) : Volim te
Serbe (ancien) : Ljubim te (langage poétique)
Serbo-Croate : Volim te
Serbo-Croate : Ljubim te
Serbo-Croate : Ja te volim
SeSotho : Kiyahurata (prononcer ky-ya-hoo-rata)
Shona : Ndinokuda SINDHI moon khay tu saan piyar aahay
Singalais (Ceylan) : Mama oyata adarei
Singalais (Ceylan) : Mama oyata aadareyi
Sioux : Techihhila
Slovaque : Lubim ta
Slovène : Ljubim te/ rad te imam (locuteur Masculin) / rada te imam (locuteur Féminin)
Sobota : volim te (courant) / se te volime (littéraire)
Somali : waan ku jecelahay
Soninke : na moula                                                                                                                   Srilankais : Mama oyata arderyi
Soussou : ira fan ma Strasbourgeois (variante alsacienne) : Ich hoab dich gearn (amical)
Strasbourgeois (variante alsacienne) : Ich hoab dich leb (beaucoup plus tendre)
Sudanais ( Bari ) : Nan nyanyar do
Sudanais ( Bari ) : Nan nyanyar do parik
Suaheli (Ouest Afrique) : Ninikupenda
Swahili : Naku enda
Swahili : Naku penda
Swahili : Ninikupenda
Swahili : Dholu'o
Suédois : Jag älskar dig
Suédois : Iaj Alskar Dej
Suédois : Jag är kär i dig (je suis amoureux)
Suisse allemand : Ch'ha di gärn
Syrien/Libanais : Bhebbek (vers une femme)
Syrien/Libanais: Bhebbak (vers un homme)
Tagalog : Mahal kita
Tahitien : Ua Here Vau Ia Oe
Tahitien : Ua here vau ia oe
Tajiki : jigarata bihrum duhtari hola (homme > femme) tra lav dorum (femme > homme)
Tamoul : Naan unni kathilikaran
Tamoul : Ni yaanai kaadli karen
Tamoul : Naan unnai kadalikiren
Tamoul : Nan unnai kathalikaren
Tamoul : Nan yaanai kaadli karen
Tamoul : Nam vi' remberem
Tatar : min sine yaratam Tchèque : miluji tě (miloujou ti)
Telugu (Inde) : Neenu ninnu prámistu'nnanu
Telugu (Inde) : Nenu ninnu premistunnanu
Telugu (Inde) : Ninnu premistunnahu
Thaï (formel) : ฉันรักคุณ Ch'an rak khun (femme vers homme)
Thaï (formel) : ผมรักคุณ Phom rak khun (homme vers femme)
Thaï (formel) : Phom-ruk-koon (homme vers femme)
Thaï (formel) : Chum-ruk-koon (femme vers homme)
Thaï : Khoa raak thoe (affection, amour, tendresse)
Tibétain : na kirinla gaguidou Timide : heeuuu ! ... (suivi d'un long silence)
Tshiluba : Ndi mukasua
Tshiluba : Ndi musua wewe
Tshiluba : Ndi ne ditalala bua wewe
Tswama : Ke a go rata
Tunisien : hebbek
Tunisien : Ha eh bakn
Tumbuka : Nkhukutemwa
Turc : Seni seviyorum
Turc : Seni begeniyorum (très tendre)
Turc : Sana deliler gibi asigim (je suis fou amoureux de toi)
Turkmène : seni söýärin Ukrainien : Ya tebe kokhaïou (je t'aime) Udmurt : mon tone jaratiśko
Ukrainien : Я тебе кохаю Ya tebe kokhaïou (je vous aime)
Ukrainien : Ya pokkhav tebe (je suis tombé amoureux de toi)
Ukrainien : Ya pokokhav vas (je suis tombé amoureux de vous)
Ukrainien : Ya pokokhala tebe (je suis tombée amoureuse de toi)
Ukrainien : Ya pokokhala vas (je suis tombée amoureuse de vous)
Unuit (Esquimo) : Ounakrodiwakit
Vai : Na lia
Värmländska : Du är görgo te mäg
Verlan : meait'je (forme apprenti)
Verlan : emia ai't ej (forme plus complexe) Vénète : t'amo
Vietnamien : Em yeu anh (femme vers homme)
Vietnamien : Toi yeu em
Vietnamien : Anh yeu em (homme vers femme)
Vilie (Congo) : Mi bekuzola
Volapük : Löfob oli
Vulcain : Wani ra yana ro aisha
Wallon : Dji vos veu volti (orthographe à betchfessîs)
Wallon : Dji vos inme
Wallon : Dji v'zinme
Wolof : Da ma la nope
Wolof : Da ma la nop
Wolof : nob nala Yiddish : Ich libe dich
Yiddish : Ich han dich lib
Yiddish : Kh'hob dick lib
Yiddish : Kh'ob dikh holt
Yiddish : Ikh bin dir farlibt
Yucatec maya : 'in k'aatech (entre amants)
Yucatec maya : 'in yabitmech (pour presque tous)
Yougoslave : Ya te volim
Zaïroi : Na lingui yo
Zazi (Kurde) : Ezhele hezdege (?)
Zoulou : Mina Ngithanda Wena (rarement utilisé)
Zoulou : Ngiyakuthanda
Zuni : Tom ho' ichema